Améliorer la qualité de l'air au bureau : guide pour un environnement sain
Catégories :
Allergique et asthmatique
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La qualité de l'air dans les bureaux est un facteur souvent négligé, mais essentiel pour la santé et la productivité des employés. Des symptômes tels que les yeux secs, la fatigue, ou les maux de tête sont courants en milieu de travail et peuvent être causés par un air intérieur de mauvaise qualité. L'air sec, les niveaux élevés de poussière, et les émissions provenant des imprimantes ou des ordinateurs peuvent nuire à la concentration et à la performance des équipes. Dans cet article, découvrez les signaux d'alerte d'un air pollué, les meilleures pratiques pour optimiser la qualité de l'air et les solutions adaptées.
Les employés exposés à une qualité de l'air médiocre peuvent souffrir de symptômes variés tels que :
Le manque d'oxygène et la présence de polluants peuvent entraîner une fatigue mentale et des maux de tête.
Les niveaux de poussière et de particules dans l'air, souvent élevés en intérieur, peuvent provoquer des irritations et des yeux secs.
L’exposition prolongée aux polluants atmosphériques peut aggraver les problèmes respiratoires et augmenter le risque d’asthme.
Ces symptômes peuvent être liés à des facteurs comme une mauvaise ventilation, un taux d'humidité inadéquat et la présence de polluants internes (produits chimiques provenant des meubles, imprimantes, etc.).
La première étape pour améliorer la qualité de l'air est de mesurer les niveaux de température, d'humidité et de pollution de l'air dans le bureau :
La température recommandée pour un confort optimal est de 21-23 °C en hiver et de 23-26 °C en été. Des températures trop basses ou trop élevées peuvent générer de l'inconfort et réduire la concentration.
L'utilisation de capteurs pour détecter les niveaux de dioxyde de carbone (CO₂), de composés organiques volatils (COV) et de particules fines (PM2.5 et PM10) permet de mieux comprendre les sources de pollution et de prendre des mesures pour les réduire.
L'utilisation de capteurs pour détecter les niveaux de dioxyde de carbone (CO₂), de composés organiques volatils (COV) et de particules fines (PM2.5 et PM10) permet de mieux comprendre les sources de pollution et de prendre des mesures pour les réduire.
La première étape pour améliorer la qualité de l'air est de mesurer les niveaux de température, d'humidité et de pollution de l'air dans le bureau :
Une ventilation adéquate est essentielle pour éliminer les polluants et renouveler l'air intérieur. Il est recommandé d’aérer les bureaux tôt le matin ou d’installer un système de ventilation mécanique pour assurer un flux constant d’air propre. En réduisant la concentration de polluants et de dioxyde de carbone, la ventilation améliore la concentration et réduit les maux de tête.
Les purificateurs d'air, en particulier ceux dotés de filtres HEPA, sont très efficaces pour éliminer les particules fines et les allergènes de l'air. Dans un bureau, un purificateur comme Robert ou George peut être utilisé pour filtrer les poussières, les pollens et autres polluants. Cela est particulièrement bénéfique dans les espaces partagés, où les sources de pollution sont plus nombreuses.
L'humidité relative a un impact direct sur le confort et la santé au bureau. En hiver, lorsque l'air est souvent trop sec, un humidificateur peut aider à prévenir les irritations respiratoires et à maintenir une hydratation optimale de la peau et des yeux. Inversement, en été ou dans des espaces mal ventilés, un déshumidificateur peut réduire l'humidité excessive et prévenir les risques de moisissures.
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L'ajustement de la température peut être géré avec des équipements tels que des ventilateurs de table ou des chauffages d’appoint. Ces dispositifs permettent de moduler la température selon les préférences individuelles, créant un confort thermique qui améliore la productivité et réduit le stress.
Les plantes d'intérieur, telles que le lierre, le pothos, et le palmier d'intérieur, ont un effet bénéfique sur la qualité de l'air. Elles contribuent à éliminer certains polluants (comme le formaldéhyde et le benzène) et améliorent le niveau d'oxygène dans l'air, apportant une sensation de fraîcheur dans les espaces de travail.
Ventilez plusieurs fois par jour, idéalement aux heures où l'air extérieur est le moins pollué.
Mesurez régulièrement la qualité de l'air avec un hygromètre.
Nettoyez les filtres des équipements comme les climatiseurs et purificateurs d'air pour éviter la stagnation des particules polluantes.
En améliorant la qualité de l'air, les entreprises peuvent non seulement protéger la santé de leurs collaborateurs, mais également renforcer leur bien-être et leur efficacité au travail. En adoptant des solutions simples et adaptées, chaque entreprise peut favoriser un climat intérieur sain et agréable.